THE CELTIC SOCIAL CLUB
BIOGRAPHIE
Quatre années d’existence, un deuxième album A NEW KIND OF FREEDOM qui a définitivement fait sauter les verrous des frontières et des chapelles, une nouvelle tournée internationale (États-Unis, Chine, Turquie, Suisse) portée par leur puissance scénique et l’enthousiasme des médias : THE CELTIC SOCIAL CLUB va vont décidément très vite… Fidèle à des racines qu’elle profane avec amour dans une aventureuse et généreuse cure de jouvence rock, folk, pop et groove, la musique populaire, énergique et syncrétique de THE CELTIC SOCIAL CLUB redéfinit les contours et les possibles de la « musique traditionnelle » en la propulsant vers de nouveaux horizons.
Après un concert inaugural le 18 juillet 2014 devant 50 000 spectateurs au Festival des Vieilles Charrues (France), ce qui ne devait être qu’une création en « one shot » s’embarque pour une première tournée d’une cinquantaine de dates en France et à l’International (États-Unis, Chine, Suisse, Allemagne, Vietnam, Algérie), avec un premier album vendu à près de 10 000 exemplaires.
Créé, sur le modèle du « Buena Vista Social Club » et du « New Orleans Social Club », par le batteur et producteur Manu Masko, leur répertoire insuffle une cure de jouvence salvatrice aux mélodies Celtes anciennes des XVII ème, XVIII ème ou XIX ème siècle, glanées en Bretagne, Irlande, Ecosse et Asturie. Entre Clash roots et Pogues au meilleur de leur forme, la magie de cette opération commando faisait entrer dans le XXI ème siècle, une musique traditionnelle débarrassée des poncifs et imposés du genre. La clôture de tournée du premier album se fera au coeur du mythique Central Park, le 1er octobre 2016, pour les 25 ans des Vieilles Charrues à New-York, où THE CELTIC SOCIAL CLUB embarque littéralement les 5 000 spectateurs rassemblés au coeur de Manhattan.
Avec la sortie en mai 2017 de A NEW KIND OF FREEDOM (10/10, Sony), deuxième album radical et fédérateur, impressionnant de puissance et de maturité, le gang repousse encore plus loin l’articulation entre modernité et tradition, s’appuyant sur son songwriting sans faille et un son plus rock. Entre punch-line mélodiques, fièvre acoustique, fougue électrique, beat-trans, virtuosité et hymnes conquérants, ce grand disque d’un authentique « dancing band » du XXI ème siècle proclame fièrement que le métissage et la bâtardise sont les armes de ce « nouveau genre de liberté ».
Après un retour emblématique aux festival des Vieilles Charrues en juillet 2017, puis au festival Interceltique de Lorient, et une nouvelle tournée d’une semaine aux États-Unis en septembre, THE CELTIC SOCIAL CLUB s’impose définitivement comme un impressionnant groupe de scène, puissant, soudé, inventif et tout terrain, capable de faire sourire et danser tous les publics et géographies. Manu Masko (batterie), les virtuoses de la musique traditionnelle Bretonne Ronan Le Bars (uilleann pipe) et Pierre Stephan (violon), le bassiste Richard Puaud, l’harmonica et le washboard de Mathieu Péquériau, les banjo, mandoline et guitare de Goulven Hamel, et leur nouveau chanteur irlandais Dan Donnelly (The Levellers, The Oyster Band, The Wonder Stuff), semblent avoir trouvé la formule magique. Installé dans le grand concert planétaire des musiques du monde et au travail sur son troisième album, THE CELTIC SOCIAL CLUB n’a pas fini de faire parler de lui.
© Photo bannière : Etienne Goriau
© Photo groupe : Laurent Guizard